OTOLITHE –ESPADON : Evaluation de la structure du stock d’espadon de l’océan indien à partir des analyses de forme des otolithes
| Type | Rapport scientifique | ||||||||
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| Date | 2015-07-03 | ||||||||
| Langue(s) | Français | ||||||||
| Référence | RST/DOI/2015-04 | ||||||||
| Auteur(s) | Bourjea Jerome 1, Mille Tiphaine1, Evano Hugues1, Mahe Kelig1 |
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| Contributeur(s) | Heineken Chris | ||||||||
| Affiliation(s) | 1 : Ifremer, France | ||||||||
| DOI | 10.13155/38324 | ||||||||
| Editeur | Ifremer | ||||||||
| Version | Rapport final | ||||||||
| Note | PO FEP 2007-2013, Volet Réunion, Axe 3, Mesure 3.6 Numéro de Convention : Ref DMSOI : 39703/DMSOI/2013 Ref Ifremer : IFR N° 13/1210968/F | ||||||||
| Mot-Clé(s) | Espadon, Xiphias gladius, Otolithe, descripteur de Fourier, stock, océan Indien, Forme | ||||||||
| Résumé | L’espadon (Xiphias gladius) de l’océan Indien est actuellement une ressource évaluée comme étant pleinement exploitée à l’échelle de cet océan, avec un risque de surexploitation dans le sud-ouest de l’océan Indien. Une précédente étude a permis de démontrer que les espadons de l’océan Indien ne formaient qu’une seule et même population génétique (conclusion du projet IOSSS – ESPADON). L’objectif de ce projet a été d’explorer la forme de 395 otolithes d’espadons collectés dans sept zones différentes de l’océan Indien pour identifier s’ils provenaient de stocks différents ou non. Cette étude a permis de tirer 5 conclusions principales : les otolithes gauche et droit de l’espadon sont significativement similaires. 1- il n’y a pas d’effet de la taille des espadons matures sur la forme de leurs otolithes 2- il n’y a pas de dimorphisme sexuel sur la forme des otolithes d’espadons matures. 3- il n’y a pas d’effet ou de biais de l’année d’échantillonnage sur la forme de l’otolithe d’espadon. 4- il n’existe pas une structure liée à l’origine géographique des espadons dans l’océan Indien Cette étude réalisée à partir d’une analyse de formes des otolithes confirme donc les résultats préalablement mis en évidence par l’approche génétique, à savoir que les espadons de l’océan Indien forment un seul et unique stock. Ces résultats ont permis à la Commission des Thons de l’Océan Indien (CTOI) de considérer en 2014 et jusqu’à preuve du contraire, qu’il n’existait qu’un seul stock d’espadons dans l’océan Indien, une décision qui écarte pour un certain nombre d’années, la mise en place de mesures de gestion concrètes (eg TAQ) pour cette espèce dans le sud-ouest de l’océan Indien, mesures qui auraient pu pénaliser la flottille palangrière réunionnaise |
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| Texte intégral |
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