FN Archimer Export Format PT C TI Comparaison de methodes directes (microscopiques) et indirectes (par mise en culture) dans l'evaluation d'une pollution bacterienne d'origine fecale. Etude preliminaire OT Comparison of the direct (microscopy) and indirect (growth on medium) methods for bacterial counting of fecal pollution. Preliminary study. BT AF MUNRO, P BIANCHI, M AS 1:;2:; FF 1:;2:; UR https://archimer.ifremer.fr/doc/1984/acte-1001.pdf LA French DT Proceedings paper DE ;Escherichia coli;Bacteria;Microbiological culture;Pathogenic bacteria;Microbial contamination;Bacterial counters;Fluorescence microscopy;Bacteria collecting devices;Indicator species AB Les dénombrements de bactéries dans des suspensions cellulaires des serotypes 026B6et 0111B4 de l'espèce Escherichia coli ont été réalisés par deux méthodes microscopiques (épifluorescence et immunofluorescence) ainsi que par mise en culture sur milieu spécifique. Si les deux méthodes microscopiques donnent des résultats identiques, les valeurs fournies par mise en culture sont inférieures d'une puissance de 10. Dans une eau de mer polluée par le rejet d'un collecteur urbain, les comptages en microscopie en épifluorescence fournissent les valeurs les plus élevées. Mais, dans ce cas, le comptage en immunofluorescence est inférieur d'une puissance de 10 au nombre de bactéries se développant sur milieu sélectif. La diversité des espèces bactériennes de l'eau de mer, d'une part, la restriction aux serotypes "pathogènes" de l'espèce E. coli, d'autre part, expliquent cette différence.Des problèmes techniques dus à la filtration nécessitent des travaux ultérieurs quand à l'application de la technique d'immunofluorescence dans le milieu naturel. AB Cells of two serotypes of Escherichia coli (O26B6 and 0111B4) were counted using epifluorescence and immunofluorescence microscopy (nonavalent serum) and plate count on specific medium. Values from indirect counts were 10 fold smaller than those from both microscopic counts. In a sample of sea water from an area receiving a fecal pollution, the highest number of bacteria was obtained by epifluorescence microscopy. In that case, the number of cells counted by immunofluorescence microscopy was 10 fold smaller than the number of bacteria able to grow on the medium. It could be due to: the diversity of the natural community, the possibility to other bacteria than E. coli to grow on the used culture medium, the restrictiveness of the serum for "pathogenic serotypes". PY 1984 PD OCT CT Actes de colloques. Ifremer Brest [ACTES COLLOQ. IFREMER.]. 1986 ID 1001 ER EF