FN Archimer Export Format PT J TI Influence of oyster farming Crassostrea gigas on the phosphate cycle in an intertidal zone : the role of biodeposition OT Influence des cultures d'huîtres Crassostrea gigas sur le cycle du phosphore zn eone intertidale : rôle de la biodéposition BT AF SORNIN, Jean-Marc FEUILLET, Michelle HERAL, Maurice FARDEAU, Jean-Claude AS 1:1;2:1;3:2;4:3; FF 1:;2:;3:;4:; C1 CREMA-L'Houmeau, Case 5, 17137 Nieul-sur-Mer., France Institut Français de Recherche pour l'Exploitation de la Mer (IFREMER), Mus de Loup, BP 133, 17390 La Tremblade, France CEA, Radioagronomie, Centre d'Études Nucléaires, Cadarache, BP 1, 13115 Saint-Paulles- Durance, France C2 IFREMER, FRANCE IFREMER, FRANCE CEA, FRANCE IN WOS Ifremer jusqu'en 2018 IF 0.662 TC 30 UR https://archimer.ifremer.fr/doc/1986/publication-2973.pdf LA English DT Article DE ;phosphore;Crassoslrea gigas;Biodéposition;Dilution isotopique;Marennes-Oléron;Phosphorus;Crassostrea gigas;Biodeposition Isotopic;dilution;Marennes-Oléron AB Différentes étapes du cycle du phosphore, en relation avec une culture intensive d'huîtres Crassostrea gigas sont analysées dans le bassin de Marennes-Oléron (France). On a étudié les flux de phosphore entre les formes dissoutes, minérales et organiques, soit dans la colonne d'eau soit dans les eaux interstitielles et subjacentes du sédiment, et entre les formes particulaires représentées par les matières en suspension, les biodépôts et le sédiment. La détermination des flux de phosphore permet en particulier de connaître les quantités consommées lors de la filtration par l'huître, ainsi que celles déposées sur le sédiment. Les variations saisonnières des compartiments de phosphate des matières en suspension révèlent une diminution du phosphore assimilable après leurs rejets en biodépôts, pendant le mois de juillet puis en septembre-octobre. Ce déficit peut atteindre 75 % de l'apport ce qui correspond, pour une densité de 200 huîtres au m2, à 20 mg de phosphore par m2 et par jour. Elle peut avoir pour origine soit une consommation directe par les huîtres, soit une modification physico-chimique du biodépôt au cours de sa traversée dans l'huître. Les apports de phosphore total, dus à la présence des cultures d'huîtres, atteignent 3.500 mgP.m-2 par jour en février - mars et septembre - octobre~. Pour le phosphore assimilable, le maximum est en hiver de 80 mg.m -2 par jour. AB Some aspects of the phosphorus cycle were studied in the estuarine bay of Marennes, Oléron, an area of intensive cultivation of Crassostrea gigas on the west coast of France. The annual cycle of dissolved phosphorus (mineral and organic) in the water column, interstitial water and at the sediment-water interface was followed, as well as the particulate phosphorus (total and assimilable) in sediments and in suspension. A comparison of the seasonal variations in these different forms of phosphorus in the suspended matters shows a deficit in "biodeposits" (sedimented faeces and pseudofaeces from Crassostrea gigas) equivalent to 20 mg.m -2.d -1 for assimilable phosphorus in July and September-October. This may be the result of consumption by the oysters, since the same biomass (200 oysters.m-2) can yield up to 3500 mg.m-2.d-1 total phosphorus in February-March and September-October; and 80 mg.m-2.d-1 assimilable phosphorus in winter. These estimates are finally used to calculate fluxes between suspended, consumed and deposited forms of phosphorus, and demonstrate a net flux of total phosphorus from the water column to sediments amounting to 808 g.m-2.y-l and to 25 g.m-2.y-l of assimilable phosphorus. PY 1986 PD JUN SO Oceanologica Acta SN 0399-1784 PU Gauthier-villars/editions Elsevier VL 9 IS 3 UT A1986E392700010 BP 313 EP 322 ID 2973 ER EF