FN Archimer Export Format PT J TI Variations des productions de biodépôts (feces et pesudofeces) de l'huître Crassostrea gigas dans un estuaire macrotidal : baie de Marennes-Oléron OT Variation of biodeposits production (faeces and pseudofaeces) for the oyster Crassostrea gigas in a macrobial estuary : Bay of Marennes - Oleron BT AF RAZET, Daniel HERAL, Maurice PROU, Jean LEGRAND, Jacqueline SORNIN, Jean-Marc AS 1:;2:;3:;4:;5:; FF 1:PDG-DOP-LER-LERPC;2:PDG-DP2S;3:PDG-DPCP;4:;5:; SI LA TREMBLADE SIEGE SE PDG-DOP-LER-LERPC PDG-DP2S PDG-DPCP TC 0 UR https://archimer.ifremer.fr/doc/1990/publication-3031.pdf LA French DT Article DE ;Faeces;Pseudofaeces;Sort;Crassostrea gigas;Fèces;Psueofèces;Tri;Crassotrea gigas AB Le suivi en continu du courant (vitesse et direction) de la turbidité et de la fluorescence phytoplanctonique a été réalisé pendant 19 jours en mai 1988. Toutes les deux heures, pendant la journée, les émissions de féces et pseudoféces de 7 huîtres ont été récoltées individuellement et séparément. Parallèlement, des mesures de taux de filtration ont été réalisées. Il apparaît que la concentration en matériel particulaire ainsi que la fluorescence planctonique fluctue en relation étroite avec la hauteur d'eau en fonction de la vitesse du courant, de l'origine de la masse d'eau et du vent. Pendant le cycle de marée le taux de filtration est constant et induit une consommation de nourriture fluctuante. Les huîtres sont toujours au-dessus du seuil de production de pseudoféces qui régulent la quantité ingérée. Leur quantité est étroitement corrélée avec les concentrations de matériel particulaire en suspension. Ces résultats démontrent, par ailleurs, qu'il existe nettement un tri du matériel particulaire en suspension. Les huîtres rejettent préférentiellement le matériel minéral dans les pseudoféces alors que le matériel qui transite dans le tractus digestif est enrichi en matière organique AB The continuous obtention of current (speed and direction) turbidity and phytoplanktonic fluorescence was achieved for 9 successive days during the month of May 1988. Each two hours, during the day, the faeces and pseudofaeces productions of 7 oysters have been sampled individualy. The filtration rate were calculated in continuous. It appeared that the concentration in particular matter and also the planktonic fluorescence fluctuated in direct relation with the water depth, the origin of the water masses and the speed of the wind. During the tidal cycle the mean filtration rate was constant which induced a food consumption largely variable. The oysters were always above the limit of pseudofaeces production which regulated the ingested quantity. Their amount were directly correlated with the concentration of particular matter in suspension. These results demonstrated clearly that a sort of the particular matter occured. The japanese oysters rejected preferentialy the mineraI components in the pseudofaeces while the organic material which went through the digestive tractus was increased. PY 1990 SO Haliotis PU Société Française de Malacololgie VL 10 BP 143 EP 161 ID 3031 ER EF