Croissance et composition de la coquille de Gryphaea angulata LMK. élevée sur parc de pleine eau après enrichissement phosphaté du sol
| Autre(s) titre(s) | Growth and composition of the shellfish Gryphaea angulata LMK. high in a full water farming park after phosphate enrichment of the soil | ||||||||
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| Type | Article | ||||||||
| Date | 1958-06 | ||||||||
| Langue(s) | Français | ||||||||
| Auteur(s) | Creac'h P., Le Dantec Jean | ||||||||
| Source | Revue des Travaux de l'Institut des Pêches Maritimes (0035-2276) (ISTPM), 1958-06 , Vol. 22 , N. 2 , P. 135-145 | ||||||||
| Résumé | Sur deux parcelles contiguës, l'une servant de témoin, l'autre phosphatée par épandage (suivi d'un léger hersage) de 25 kg de Phosphal « F » sur une superficie d'un are, on a placé des gryphées âgées de 21 mois. Les mollusques sont en moyenne exondés pendant une durée de 4 h 30 à chaque marée. 1° Il semble qu'au taux utilisé et pendant les premiers mois, le phosphal ait provoqué chez les huîtres un certain déséquilibre physiologique se traduisant par une mortalité plus élevée que chez les témoins. 2° Après une période expérimentale de onze mois, les examens de laboratoire montrent une grande similitude des deux populations. Cependant: a) Si le poids des tissus frais est sensiblement du même ordre, le poids sec de la chair des mollusques ayant séjourné sur le sol phosphaté est nettement inférieur à celui des témoins. b) En ce qui concerne les coquilles, il semble que les mollusques placés sur sol phosphaté présentent une certaine tendance à élaborer une plus importante quantité de couches crayeuses. Ce caractère ne devient significatif que lorsque le poids sec total de la coquille dépasse 24 g. Comme les gryphées répondant à cette définition ne représentent que 5 à 6 % des exemplaires de chaque lot, les différences entre les deux populations deviennent pratiquement négligeables quand on les considère dans leur ensemble. 3° Dans les deux lots de gryphées étudiées, le chambrage dû à Polydora se manifeste surtout sur la valve supérieure, statiquement la plus compacte. Cette atteinte est nettement moins fréquente chez les huîtres placées sur le sol enrichi au Phosphal, et c'est là le seul avantage que l'on puisse mettre à l'actif de cette pratique. 4" Enfin, au cours d'environ une année. 4° du phosphore ajouté au sol a disparu. ATTENTION : Ce texte a été extrait du document par un processus automatique, non contrôlé, de reconnaissance optique de caractères (OCR). Il est donc susceptible de comporter des erreurs. En cas de doute, consultez le fichier PDF. |
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| Résumé en anglais | On two adjoining parcels, one used as a control plot, the other spread with 25 kg of phosphate "F" (followed by a light harrowing) on a one are area, we placed some grypheae aged 21 months. The molluscs are emerged for an average of 4h30 at each tide.1° it seems that, at the level used and for the first few months, the phosphate caused a physiological derangement in oysters which resulted in a higher mortality rate than in the control oysters.2° after an experimental period of eleven months, laboratory experiments showed a great similarity between the two populations. However:a) If the weight of the wet tissues is about the same, the weight of the dry flesh of the molluscs which stayed on the phosphated soil was lower than that of the control oysters.b) Concerning their shells, it looks like the molluscs which stayed on the phosphated soil show a tendency to create larger quantities of chalk layers. This tendency only becomes significant when the dry weight of the shell is greater than 24 g.As the grypheae answering this criterion only represent 5 to 6 % of the specimens in each batch, the differences between these two populations become negligible when considered as a whole.3° in the two studied grypheae batches, the mudblisters created by polydorids are located around the upper valve, more compact statistically speaking. This damage is less frequent in oysters which stayed on the phosphated soil, and this is probably the only advantage provided by this technique. 4° Finally, after about one year, 43% of the phosphate had disappeared. | ||||||||
| Texte intégral |
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