Ponte naturelle et ponte induite hormonalement chez dicentrarchus labrax L. en captivité

Autre(s) titre(s) Natural and hormonally induced spawning of Dicentrarchus labrax (L.) in captivity
Type Communication avec actes
Date 1973-10
Langue(s) Français
Auteur(s) Boulineau F.
Conférence Colloque sur l'Aquaculture. 22-24 October 1973, Brest (France).
Source Publ. CNEXO (France) (Actes Colloq.)(no. 1)
Mot-Clé(s) Histoire Ifremer
Résumé Chez une espèce intéressant l'aquaculture, un des premiers problèmes qui se pose est l'obtention d'alevins pour le grossissement. La première solution à laquelle on peut penser est celle du prélèvement des ovules par pressions abdominales sur des femelles mûres (c'est la technique bien connue utilisée sur les salmonidés). Cette méthode présente cependant pour le bar bien peu d'avantages pour de multiples inconvénients ; en effet, le premier obstacle rencontré consiste à déterminer, par examen externe du poisson, son état exact de maturité sexuelle afin de ne pas provoquer une émission de gamètes prématurée ou trop tardive. Ceci implique des manipulations répétées, donc particulièrement traumatisantes pour ce genre de poisson. De plus, il est excessivement rare, pour ne pas dire exceptionnel, de rencontrer une femelle sauvage en cours de ponte. En conclusion, cette méthode amène la ponte d'un grand nombre de géniteurs pour l'obtention d'un faible nombre d'oeufs. Elle a tout de même permis l'élevage expérimental d'un lot de larves au COB pendant la saison de reproduction 1971-1972.
Résumé en anglais From the aquaculture point of view, in any interesting species, one of the first issues raised is the obtaining of some fries for rearing. The first solution is the sampling of the ovums through abdominal pressure on mature females (the well-known technique used on salmonids). However, for basses, this method provides very few advantages for too many disadvantages; the first obstacle met is the determination of the fish's exact state of maturity in order to avoid a premature or late gamete release. This implies repeated handlings, really traumatizing for this type of fish. Moreover, it is inordinately rare, if not exceptional, to come across a wild female about to lay eggs. As a conclusion, this method results in the egg laying of a large number of spawners for a very low amount of eggs. However, it enabled the experimental rearing of a batch of larvae at the C.O.B. during the reproduction season 1971-1972.
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Comment citer 

Boulineau F. (1973). Ponte naturelle et ponte induite hormonalement chez dicentrarchus labrax L. en captivité. Publ. CNEXO (France) (Actes Colloq.)(no. 1). https://archimer.ifremer.fr/doc/00000/5991/