Tolérance de la faune marine à Bacillus Thuringiensis
Autre(s) titre(s) | Marine fauna tolerance to Bacillus Thuringiensis | ||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Type | Article | ||||||||
Date | 1975-09 | ||||||||
Langue(s) | Français | ||||||||
Auteur(s) | Alzieu Claude, de Barjac Huguette, Maggi Pierre | ||||||||
Source | Science et Pêche (0036-8350) (ISTPM), 1975-09 , Vol. 250 , P. 11-18 | ||||||||
Résumé | Le patrimoine forestier est régulièrement menacé par la prolifération de prédateurs qui, par leur voracité, peuvent dévaster de très importantes surfaces boisées. Parmi ces ravageurs, la chenille processionnaire du pin (Thaumetopoea pityocampa SCHIFF) fait l'objet d'une surveillance particulière des services phytosanitaires chargés de la protection des végétaux. Lorsque les populations de chenilles se développent de façon pléthorique des campagnes de lutte sont entreprises soit avec des moyens mécaniques (destruction des branches supportant les nids), soit par traitements aériens à l'aide d'insecticides. Le D.D.T. a d'abord été utilisé pour le traitement de grandes superficies mais en raison d'inconvénients majeurs tels que : apparition de phénomènes de résistance, nocivité pour la faune annexe, accumulation de résidus le long des chaînes alimentaires, il a été abandonné au profit d'autres insecticides en particulier un organophosphoré : le malathion. | ||||||||
Texte intégral |
|