FN Archimer Export Format PT Rapport TI Purification virale des coquillages - Phase 1 : Etude préliminaire OT Viral purification of shells - Phase 1: Preliminary study BT SI BREST,NANTES BREST LA TRINITE NANTES SE PDG-DOP-DCN-EMP PDG-RBE-EMP-MIC PDG-DOP-LER-LERMPL PDG-DOP-DCB-SGCB-IMG PDG-RBE-BE-LBEX PDG-DOP-DCN-EMP-MIC UR https://archimer.ifremer.fr/doc/00044/15544/12930.pdf LA French DT Report AB Ce travail s'insère dans un programme général appelé "Virus-Sqfe Seafood" dont l'objectif principal est de fournir des moyens rapides el efficaces pour évaluer, tout au long de la chaîne de production des coquillages, la contamination par des virus d'origine humaine et de proposer une technologie innovante pour le contrôle de la qualité du produit et des procédés de purification. L'objectif final est d'assurer la sécurité alimentaire des produits de la mer. Le problème de la contamination des coquillages est couramment sous - diagnostiqué et mal géré, bien que des études épidémiologiques ont relié des maladies virales (gastro-entérites et hépatite A) avec la consommation de coquillages répondant aux normes bactériologiques. Protéger le consommateur implique une action basée sur la spécificité du produit. Le coquillage est un aliment "unique", du fait des caractéristiques de l'animal (alimentation par filtration) et de la manière dont on le consomme (très peu cuit ou cru pour les huîtres). Cet animal est élevé en mer et l'environnement hydrique est la principale source de contamination. Il concentre les contaminants et, parmi eux, les virus entériques d'origine humaine qui sont capables de persister très longtemps dans les chairs de l'animal. Si une contamination virale intervient dans la zone de production, le coquillage peut être contaminé. Comme il a été démontré que les indicateurs bactériens ne sont pas corrélés à la présence de virus, la législation actuelle s'avère inefficace pour protéger le consommateur. Même si la législation européenne recommande la purification de coquillages contaminés par des bactéries fécales, l'action de la purification vis à vis des virus reste encore à démontrer. Une protection efficace du consommateur doit prendre en compte d'une part la contamination des zones de production (apports de virus à la côte et qualité de l'eau des parcs conchylicoles) et, d'autre part l'élimination des virus par les systèmes de purification : la chaîne de production à contrôler dans ce cas particulier, concerne la production sur parcs et la purification. Ces éléments sont pris en compte dans la construction et l'organisation du projet "Virus-Safe Seafood". PY 2001 PD FEB ID 15544 ER EF