FN Archimer Export Format PT Rapport TI Evaluation de la qualité des zones de production conchylicole. Département des Côtes d'Armor. Edition 2021 BT AF CHEVE, Julien LE GALL, Patrik AS 1:1;2:1; FF 1:PDG-ODE-LITTORAL-LERBN;2:PDG-ODE-LITTORAL-LERBN; C2 IFREMER, FRANCE SI DINARD SE PDG-ODE-LITTORAL-LERBN UR https://archimer.ifremer.fr/doc/00696/80842/84423.pdf LA French DT Report DE ;REMI;E.coli;contamination bactériologique des coquillages;ROCCH;contaminants chimiques;milieu marin;classement sanitaire des zones de production;département 22 AB Après un rappel des objectifs, du fonctionnement et de la méthode d’interprétation des résultats du réseau de contrôle microbiologique des zones de production conchylicoles (REMI) et du réseau d’observation de la contamination chimique (ROCCH), ce rapport inclut un bilan national et décrit le programme annuel du département des Côtes d’Armor (22). Il présente l’ensemble des résultats obtenus, en particulier l’estimation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production de coquillages classées. Le bilan au 1er janvier 2021 est plutôt négatif. Sans considérer les dépassements déjà observés en 2018, cinq zones présentent une dégradation de leur qualité sanitaire, contre une seule pour une amélioration. Globalement, la qualité sanitaire reste en amélioration (statistiquement, 70% des points suivis montrent une tendance à l’amélioration – Annexe 4). Mais la présence de rares pics de contamination de faible à moyenne intensité pénalise encore de nombreuse zones du département et notamment en baie de Paimpol et dans l’estuaire du Trieux. Une partie d’entre elles avait été classée A en 2018 mais la pérennisation de la bonne qualité sanitaire demeure fragile dans ces secteurs. Le constat est plus inquiétant pour la zone 22.06.11 dont l’estimation en qualité B est due à des contaminations qui ne s’observaient pas auparavant. La situation est la même pour les zones 22.08.20 (près de Plougrescant) et la 22.00.00 au niveau de la baie de Lannion. Il semble cependant que les résultats de ces zones présentent de nouveau une bonne qualité sanitaire en 2020, année pourtant très pluvieuse. Le nombre d’alertes est exceptionnellement élevé en 2020 (34 alertes dont cinq de niveau 2), le double de 2019. Ces pics de contamination ont eu néanmoins très peu de  conséquence directe sur l’estimation du classement sanitaire. Deux zones présentent une dégradation par rapport à 2019. Parmi elles se trouvent la zone 22.03.23, estimée en mauvaise qualité sanitaire, malgré un bruit de fond en baisse depuis plus de trois ans. Ces alertes s’expliquent pour l’essentiel par la pluviométrie elle-même exceptionnelle de 2020 qui aura connu de nombreux orages et plusieurs tempêtes (Alex en octobre, Bella en décembre). PY 2021 PD MAY ID 80842 ER EF