La France a initié les premières études de biotechnologies en rapport avec l’aquaculture, les produits et sous-produits de la pêche et l’environnement, il y a plus de 30 ans. Mais le tournant s’opère réellement en 1990 lorsque le spectre des molécules étudiées s’élargit. Grâce aux apports de la génomique et des souchothèques, les perspectives pour l’environnement et la santé s’annoncent très prometteuses pour l’Ifremer.