La production de coquillages en France provient à 15 % de la pêche sur gisements naturels et à 85 % d'élevage. La décennie 1980 à 1990 est marquée par un léger déclin puis une reprise des débarquements de la pêche de coquillages à partir de 1985, une croissance de la production d'huîtres d'élevage et un fort recul de la production de moules au début des années 80 suivi par une reprise due à l'expansion de l'activité en mer ouverte. Le marché des coquillages en France représente 300000 tonnes, réparties principalement entre l'huître (40 %). la moule (30 %) et la coquille Saint-Jacques (15 %). Le recours aux importations pour l'approvisionnement du marché intérieur est important pour les moules et les coquillages de pêche (coquilles Saint-Jacques). En revanche, les flux de commerce extérieur sont très faibles pour l'huître: la France constitue le seul marché important de l'huître en Europe. OCR NON CONTRÔLE

15% of the shellfish production in France comes from natural deposits and the other 85% from farming. Years 1980-1990 showed a slight decrease in the shellfish production then a resurgence from 1985 onwards, an increase in the oyster production and a strong decrease in mussel production at the beginning of the 1980's followed by a resurgence due to the increase of open sea activity. In France, the shellfish market represents 300,000 tons, divided between oysters (40%), mussels (30%) and scallops (15%). Importations of mussels and scallops in order to supply the domestic market are important. On the other hand, external trade flows are very low as far as oysters are concerned: France is the only important market for oysters in Europe. (unverified OCR)