A la suite des mortalités massives qui avaient affecté la population de C. angulata Lmk dès le premier trimestre 1971 dans le bassin d'Arcachon, la décision fut prise de renforcer rapidement le stock des géniteurs de C. gigas, susceptible d'assurer dès l'été une récolte de naissains et de permettre dans l'avenir une reconstitution des gisements naturels anéantis. En effet la présence sur les collecteurs immergés au cours de l'été 1970 de quelques sujets de l'espèce nouvellement introduite prouvait la possibilité pour les huîtres japonaises de se reproduire dans nos eaux.