Après la mortalité massive de 19701-71 qui entraîna la quasi-disparition de l'huître portugaise (Crassostrea angulata), on assite depuis trois ans à l'extension de la culture de l'huître du Pacifique (Crassostrea gigas) dans le bassin de Marennes-Oléron. Cette espèces introduite en fait depuis 1966 montra durant la période de mortalité massive une vigueur et une résistance exceptionnelles, comparativement à l'huître portugaise.