Type |
Rapport de contrat |
Date |
1999 |
Langue(s) |
Français |
Référence |
Convention 99 RPC-A-201 "Génétique" |
Auteur(s) |
Lapegue Sylvie, Thiriot Quievreux Catherine, McCombie Helen, Heurtebise Serge, Boudry Pierre, Robert Stephane, Soletchnik Patrick, Goulletquer Philippe, Gerard Andre |
Mot-Clé(s) |
Génétique, Aneuploïdie, Génétique des populations, Biochimie, Marennes-Oléron, Huître creuse, Crassostrea gigas |
Résumé |
Divers travaux, menés depuis 1984, montrent qu'il existe, chez l'huître creuse Crassotrea gigas, des cellules montrant un nombre anormal de chromosomes (2n = 19, 18 ou même 17 au lieu de 2n = 20). Le niveau d'aneuploïdie est déterminé par le décompte des chromosomes à partir de suspensions cellulaires de tissu branchial. Le pourcentage de cellules aneuploïdes est toujours significativement supérieur dans les "lots de queue", c'est-à-dire les huîtres présentant des croissances plus faibles, et peut atteindre plus de 30 %. Récemment, une étude réalisée au sein du programme européen « Genephys » a démontré que plus de 50 % de la variance pour la vitesse de croissance était liée au taux d'aneuploïdie. Le but de l'expérimentation menée en 1999 est de faire un état des lieux des populations du bassin de MareIlles-Oléron concernant ce caractère pour savoir si certains sites peuvent être davantage touchés que d'autres. |
Texte intégral |
Fichier |
Pages |
Taille |
Accès |
12909.pdf |
39 |
9 MB |
Libre accès |
|