| Type |
Thèse |
| Date |
1989-02-23 |
| Langue(s) |
Français |
| Auteur(s) |
Goulletquer Philippe |
| Université |
Université de Bretagne Occidentale |
| Discipline |
Océanographie - Biologie |
| Directeur de thèse |
Maurice HERAL |
| Financement |
Ifremer |
| Mot-Clé(s) |
Estimation nourriture, Capacité trophique, Estimation production, Mortalité, Ecophysiologie, Relation trophique, Bivalvia, Ruditapes philippinarum, Facteurs environnementaux |
| Résumé |
Les populations d'élevage de Ruditapes philippinarum présentent des disparités de croissance et de mortalité en fonction des secteurs océaniques ou estuariens à Marennes-Oléron. Les mortalités hivernales sont associées à des productions somatiques négatives, en particulier en zone estuarienne, où les teneurs en seston minéral sont élevées (70 mg.1-1). L'étude écophysiologique montre une baisse de la digestibilité de la nourriture parallèlement à l'augmentation de sa teneur minérale. Les productions négatives résultent d'une nourriture assimilée en quantité inférieure au seuil de rendement nul de croissance (2.J.h- 1). Les productions somatiques et gamétiques de l'animal sont déterminées par le temps d'émersion. Une diminution de celui-ci induit une augmentation de la croissance et l'effort de reproduction de la palourde. Un modèle de croissance non linéaire permet d'expliquer les fluctuations saisonnières du poids de chair de l'animal à partir des paramètres hydrobiologiques de chaque secteur, en mettant en évidence le rôle des chlorophylles a et phéopigments, température, lipides particulaires, dans l'explication de la croissance. De même, l'étude hydrologique permet de confirmer par un modèle l'effet négatif des remises en suspension du sédiment deux aux facteurs météorologiques sur les productions de palourdes. |
| Texte intégral |
| Fichier |
Pages |
Taille |
Accès |
| 18535.pdf |
351 |
68 MB |
Libre accès |
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