The decomposition of hydrogen peroxide by marine phytoplankton

Other titles La décomposition du peroxyde d'hydrogène par le phytoplancton marin
Type Article
Date 2003-04
Language English
Author(s) Wong Gtf1, Dunstan Wm1, Kim Db1
Affiliation(s) 1 : Old Dominion Univ, Dept Ocean Earth & Atmospher Sci, Norfolk, VA 23529 USA.
Source Oceanologica Acta (0399-1784) (Gauthier-villars/editions Elsevier), 2003-04 , Vol. 26 , N. 2 , P. 191-198
DOI 10.1016/S0399-1784(02)00006-3
WOS© Times Cited 30
Mot-Clé(s) Phytoplancton marin, Peroxyde d'hydrogène, Oxydo-réduction
French abstract L'ensemble formé par cinq espèces océaniques (une cyanobactérie : Synechococcus sp.; deux diatomées : Chaetoceros simplex et Thalassiosira oceanica, et deux prymnésiophytes : Pleurochrysis carterae et Isochrysis galbana) et quatre espèces côtières (une prasinophyte : Tetraselmis sp.; une algue bleue : Dunaliella tertiolecta; une diatomée : Skeletonema costatum et un dinoflagellé : Amphidinium carterae) de phytoplancton testées sont capables de décomposer le peroxyde d'hydrogène à l'obscurité. Ces espèces sont ubiquistes, ce qui montre que la décomposition à l'obscurité du peroxyde d'hydrogène est un phénomène répandu. Les taux de décomposition vont de 2,0 × 10–4 et 2,7 × 10–2 μg Chl-a–1 1 h–1. Synechococcus sp. et S. costatum sont les décomposeurs les plus efficaces tandis que P. carterae et D. tertiolecta le sont le moins. L'aptitude à la décomposition du peroxyde d'hydrogène est affectée par les modifications physiques et chimiques de l'environnement et des facteurs biologiques. Un accroissement de la salinité et de la température, la présence de lumière et l'épuisement des sels nutritifs rehausse cette décomposition. L'effet de la phase de croissance est léger. L'importance et la nature de ces changements en fonction des modifications de l'environnement varie d'une espèce à l'autre.
Keyword(s) marine phytoplankton, hydrogen peroxide, oxidation-reduction
Abstract All nine species of marine phytoplankton tested (a cyanobacterium: Synechococcus sp., three diatoms: Chaetoceros simplex, Thalassiosira oceanica and Skeletonema costatum, two prymnesiophytes: Pleurochrysis carterae and Isochrysis galbana, a prasinophyte: Tetraselmis sp., a green alga: Dunaliella tertiolecta, and a dinoflagellate: Amphidinium carterae) were able to decompose hydrogen peroxide in the dark. Since these phytoplankton species can be found widely in a variety of marine sub-environments, this indicates that the dark decomposition of hydrogen peroxide by phytoplankton is a general phenomenon in the oceans. The decomposition rates were first order with respect to the concentration of hydrogen peroxide and biomass. The second-order rate constants for these nine species of phytoplankton ranged between 2 x 10(-4) and 2.7 x 10(-2) mug Chl-a(-1) 1 h(-1). Synechococcus sp. and S. costatum were the most efficient, while P. carterae and D. tertiolecta were the least efficient decomposers. While the magnitudes and patterns in the changes were species-dependent, in general, increasing salinity, temperature, the presence of light and the depletion of nutrients enhanced the decomposition of hydrogen peroxide. The effect of growth phase was small.
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