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Campagne de surveillance DCE 2015 en Méditerranée française. Districts « RHONE ET COTIERS MEDITERRANEENS » ET « CORSE »
Sur la façade méditerranéenne, l'Ifremer a assuré en 2015 une partie logistique de la quatrième campagne du contrôle de surveillance DCE et la coordination de la caractérisation de plusieurs éléments de qualité. Les résultats de la quatrième campagne de contrôles de surveillance DCE permettent de caractériser la qualité de 45 masses d’eau littorales suivies en 2015. Dans le district « Rhône et côtiers méditerranéens » (volet 1), 3 des 18 masses d’eau côtières (MEC) sont déclassées pour la chimie au regard des résultats acquis dans la matière vivante, tandis que l'ensemble des MEC suivies pour le phytoplancton affichent un bon état. Dans les masses d’eau de transition (MET), la chimie matière vivante déclasse 7 MET, le suivi dans l'eau (échantillonneurs passifs) n'a déclassé aucune MET. Pour l’état biologique, 6 MET sont déclassées pour les macrophytes et 10 MET pour le phytoplancton. Dans le district « Corse » (volet 2), les MEC présentent un très bon état pour le phytoplancton et la chimie matière vivante. 2 MET sont déclassées pour les macrophytes et pour le phytoplancton. Pour l’état chimique, les MET suivies affichent un bon état pour la chimie eau alors qu'une MET est déclassée pour la chimie matière vivante. Tous les dépassements de la NQE chimie dans la matière vivante sont dus à des niveaux élevés de 4-ter-octylphénol, et cela dans les deux districts.
Mot-clé(s)
surveillance, phytoplancton, macrophytes, substances prioritaires, bioaccumulation, état biologique, état chimique, eaux côtières, eaux de transition
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Version officielle éditeur | 79 | 2 Mo |