Programme de surveillance chimique sanitaire 2018. Bilan scientifique et technique définitif
| Type | Rapport | ||||||||
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| Date | 2019-02-04 | ||||||||
| Langue(s) | Français | ||||||||
| Référence | R.DEP/RBE/ROCCH 2019-02 | ||||||||
| Auteur(s) | Grouhel-Pellouin Anne 1, Knoery Joel1, Marchand Philippe2 |
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| Contributeur(s) | |||||||||
| Editeur | Ifremer et Laberca ONIRIS | ||||||||
| Note | CONVENTION RELATIVE AUX ACTIONS DE SURVEILLANCE SANITAIRE. ANNEE 2018. Réf. Ifremer n°17/2216082 | ||||||||
| Mot-Clé(s) | chimie, qualité sanitaire, mollusques, ROCCH, France | ||||||||
| Résumé | Le ROCCH produit les données chimiques nécessaires à l’évaluation de la qualité chimique des eaux marines, et notamment la qualité sanitaire des zones conchylicoles françaises. En 2018, 76 échantillons de mollusques ont été collectés et analysés dans ce cadre, complétés de 46 points hors suivi sanitaire. Trois secteurs apparaissent préoccupants en février 2018: le sud de la rade de Brest (fortes teneurs en plomb dans les moules et teneurs élevées en cadmium dans les huîtres), la baie de Marseille ((fortes teneurs en plomb dans les moules et teneurs élevées en HAP) et l’estuaire de la Gironde (fortes teneur en cadmium dans les huîtres), la baie de Toulon (teneurs élevées en plomb des moules), le pertuis charentais (teneurs élevées en cadmium des huîtres), le nord de la rade de Brest (teneurs élevées en HAP dans les huîtres), l’embouchure de la Seine (teneurs élevées en HAP et composés de type dioxine dans les moules), la côte nord normande (teneurs élevées en composés de type dioxine dans les huîtres et les moules).
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| Texte intégral |
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