Etude sanitaire des zones 22.04.11, 22.06.12 et 22.06.13 entre la baie de Paimpol et l'île de Bréhat - groupe III
| Type | Rapport | ||||||||
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| Date | 2019-09 | ||||||||
| Langue(s) | Français | ||||||||
| Référence | Ifremer/ODE/LITTORAL/LER/BN-019-009 | ||||||||
| Auteur(s) | Cheve Julien1, Le Noc Sandrine1 | ||||||||
| Contributeur(s) | Dagault Francoise, Legendre Aurelie, Lejolivet Aurore, Penot Julia | ||||||||
| Editeur | Ifremer | ||||||||
| Version | 1.0.0 | ||||||||
| Mot-Clé(s) | Etude sanitaire, Escherichia coli, contamination bactériologique des coquillages, contaminants chimiques, milieu marin, zones de production, baie de Paimpol, Ile de Bréhat, Lanmodez, département 22, Côtes d’Armor, groupe III, huîtres. | ||||||||
| Résumé | Ce rapport présente l’évaluation de la qualité microbiologique et chimique des zones de production conchylicole 22.04.11 « Baie de Paimpol Sud », 22.06.12 « Ilots de Bréhat Sud » et 22.06.13 « Lanmodez, ilots de Bréhat Ouest ». La qualité globale des zones est bonne, présentant entre 96% et 99 % de résultats inférieurs à 230 E.coli / 100g CLI . Mais chacune d’entre elles présente un pic de moyenne qualité microbiologique sur la période de l’étude, qui les déclasse en B. Bien que d’occurences rares, ces contaminations peuvent difficilement être considérées comme exceptionnelles. Les conclusions de l’étude sont :
L’étude ne propose pas de modification des délimitations des zones de production conchylicoles existantes. La baie de Paimpol ainsi que l’estuaire du Trieux font actuellement l’objet de programmes autour de la reconquête de la qualité microbiologique des eaux. Celle-ci tend à s’améliorer mais elle doit se confirmer pour pérenniser les classements en A. Dans un contexte d’un bruit de fond de contamination très bas, l’enjeu se trouve dans la remédiation des causes des pics de contaminations même de faible amplitude. Parmi les sources potentielles identifiées, se trouve notamment l’assainissement, collectif ou non. Mais le caractère isolé des pics de contamination relevés dans cette étude fait penser à des sources très locales, comme le risque difficilement appréhendable des rejets de la plaisance. |
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| Texte intégral |
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