Résumé |
Après un rappel des problèmes de santé publique que posent les Dinoflagellés en Europe, on présente la méthode de surveillance mise en place par IFREMER : points de prélèvements, observation de phytoplancton, tests de toxicité, moyens mis en œuvre.Le fonctionnement de ce réseau de surveillance est illustré par le suivi du développement du Dinophysis dans le Morbihan pendant l'été 1986, avec la mise en évidence de 2 pics de toxicité fin juin et mi-juillet, et leurs conséquences sanitaires, administratives et économiques.On en cherche enfin quelques enseignements visant à améliorer l'efficacité du suivi analytique, des relations avec l'épidémiologie et des dispositions pratiques permettant aux conchyliculteurs de travailler un minimum malgré le Dinophysis. |